Le Culte Perdu de Mercure

Le culte pratiquait les enseignements rituels du légendaire Hermès Trismégiste (Glorieux Alliage). Leur magie a été travaillée de concert, avec des centaines de prêtres, d'acolytes et de mages initiés dans plusieurs villes, et a donc pris beaucoup de temps. Bien que n'étant pas l'un des cultes religieux les plus puissants de l'Empire, à son apogée, même un certain nombre de sénateurs étaient comptés parmi eux. Alors que Rome étendait les limites de son empire, le culte entra en conflit avec des mages "barbares" à la périphérie de l'empire, tels que les prédécesseurs de la Verveine . 

Alors que la magie des Mercuristes était entièrement rituelle et avait plus en commun avec la magie Linéaire qu'avec l' Éveil arts , au deuxième siècle avant notre ère , le magicien Plentarque de Pompéi codifia de nombreux rituels dans un catalogue de trente-huit proto- Sorts qui allaient être utilisés par ses membres standards. Impressionnant pour son époque, le Culte accepta des convertis de toutes les parties de l'Empire et essaya d'incorporer les traditions étrangères au mieux de leurs capacités.

Certains érudits pensent que les sorts lancés par le Culte étaient essentiels à l'intégrité durable de l'Empire romain.

Étant donné que le culte de Mercure nécessitait tant de prêtres dévoués pour lancer ne serait-ce qu'un seul sort, ainsi qu'un large soutien financier pour les composants rituels, il a perdu une grande partie de son pouvoir à mesure que Rome se décomposait. Le culte s'est fragmenté alors que différents groupes de prêtres choisissaient différents camps dans les guerres civiles, et en 300 après JC , la plupart de ses sorts les plus forts ne pouvaient plus être lancés, en raison du manque de prêtres coopérants. Lorsque le christianisme est devenu la religion officielle de l'État, le culte de Mercure a été contraint d'abandonner ses temples et a dû pratiquer son métier en secret. Cette diminution du Culte et de sa capacité à lancer des sorts a peut-être affaibli la structure de l'Empire, ce qui a provoqué un cercle vicieux d'effondrement.

Le culte s'est finalement désintégré après la chute de l'Empire romain d'Occident, les mages individuels ne pouvant effectuer que des magies mineures à moins qu'ils ne travaillent de concert avec d'autres. Malheureusement, les sorciers individuels étaient paranoïaques à l'idée de travailler ensemble et travaillaient principalement dans l'isolement. Ils avaient adapté leur magie hautement réglementée pour pouvoir être utilisée sur une base individuelle, mais elle était encore assez faible, bien loin de la hauteur du Culte.

Les enseignements complets ont été redécouverts par le mage Bonisagus des siècles plus tard dans sa recherche d'une théorie universelle de la magie. Bonisagus a continué à répandre cette connaissance perdue parmi tous les mages européens qui écouteraient; la camaraderie qui a émergé de cette connaissance partagée est devenue l'épine dorsale de l' Ordre d'Hermès . Sur les 12 mages fondateurs de l'Ordre d'Hermès, dix descendaient des prêtres romains de Mercure.

Une petite force revivaliste de Sorciers a essayé de revitaliser le Culte, recherchant sa magie au mieux de leurs capacités.